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Revue de presse quotidienne du mardi 02 avril 2024

LA VÉRITÉ


Voici les dernières informations de la presse nationale de ce mardi :

 

Sa Majesté le Roi, Amir Al Mouminine, préside la cinquième causerie religieuse du mois sacré de Ramadan 1445 H (Le Matin)

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, de SAR le Prince Moulay Rachid et de SA le Prince Moulay Ismail, a présidé, lundi au Palais Royal à Casablanca, la cinquième causerie religieuse du mois sacré de Ramadan 1445 H. Cette causerie a été animée par Ousmane Kane, professeur de la pensée islamique à l’université Harvard aux Etats-Unis d’Amérique, sous le thème “Les relations culturelles et intellectuelles entre l’Afrique Subsaharienne et le Grand Maghreb”.

 

Une nouvelle ère d’intégrité et de responsabilité au Conseil économique, social et environnemental (Le Matin)

Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) marque un tournant avec l’adoption unanime de sa charte éthique. Réalisée lors de la 156e session ordinaire, cette charte est une promesse de transparence, d’intégrité et d’engagement pour l’intérêt général, alignée sur les meilleures pratiques internationales. C’est un engagement envers une gouvernance éthique exemplaire, redéfinissant les normes de conduite au sein du CESE et au-delà. Dans un entretien accordé au journal, Fouad Benseddik, membre de la commission chargée des affaires sociales et de la solidarité et acteur clé du groupe de travail sur la charte éthique au CESE, a souligné la primauté de l’intérêt général, l’objectivité et l’intégrité comme pierres angulaires de la mission des membres du CESE. Il a également mis en avant l’impact de la charte sur la conduite des membres et son rôle essentiel dans l’amélioration de la gouvernance au CESE, reflétant ainsi un engagement profond envers les principes éthiques au niveau national et international.

 

Arboriculture, maraîchage de plein air, cultures de printemps et fourrage… l’espoir persiste (Le Matin)

Si le retour de la pluie en mars apporte un répit bienvenu dans un contexte de sécheresse sévère qui se prolonge depuis six ans, la saison agricole s’en trouvera-t-elle par conséquent améliorée ? Selon l’ingénieur agronome Abdelmoumen Guennouni, les effets de ces précipitations varieront d’une culture à l’autre. Alors que pour l’arboriculture et le maraîchage de plein air, leur impact sera bénéfique, pour les grandes cultures telles que les céréales et les légumineuses, les effets sont en revanche quasiment nuls, étant donné que nous ne sommes qu’à un mois du début des moissons.

 

En grève, les étudiants en médecine annoncent «la marche de la résistance» pour le 25 avril (Le Matin)

Le spectre d’une année blanche plane toujours sur les Facultés de médecine au Maroc. Les étudiants, en grève depuis plus de 3 mois, continuent de boycotter les examens et les stages. Ils se disent décidés à poursuivre leur mouvement de protestation, particulièrement après la prise de mesures disciplinaires à l’encontre de 66 étudiants suspendus pour des durées allant d’une à deux années. Dans un communiqué publié lundi, les étudiants annoncent une série de mesures qui commenceront par l’organisation de rencontres de communication, pour se poursuivre avec l’organisation d’une marche nationale le 25 avril prochain sous le signe «la marche de la résistance».

 

Conserves de tomates : un droit antidumping de 29,93% sera appliqué sur les importations d’Égypte (Le Matin)

Les importations de conserves de tomates originaires d’Égypte seront soumises à un droit antidumping de 29,93%. Cette mesure a été déterminée sur la base de la marge de dumping calculée par les services du département du Commerce à l’issue de la phase préliminaire de son enquête antidumping initiée depuis août 2023 sur les importations de ce produit. Les investigations menées ont confirmé l’existence d’un dommage pour la filière de production nationale lequel a été matérialisé, entre autres, par la baisse de la part de la production locale dans la consommation nationale, la stagnation de l’emploi et l’instabilité du retour sur investissement.

 

OPA européenne sur les chauffeurs marocains (Les Inspirations éco)

Après l’Italie, c’est au tour de l’Espagne de reconnaître les permis marocains sur son territoire. En effet, le gouvernement espagnol a fait un pas important vers le renforcement des liens avec le Maroc en modifiant l’accord bilatéral sur la reconnaissance réciproque et l’échange des permis de conduire nationaux. Ce nouvel accord vient d’être publié au Bulletin officiel du pays par le ministère des Affaires étrangères, de l’Union européenne et de la Coopération. Désormais, la procédure d’octroi de licences aux chauffeurs de camions marocains sera plus simple. Plus besoin de passer un examen théorique et pratique pour l’échange des licences professionnelles. Toutefois, cette mesure ne s’applique pas à tous les chauffeurs de camions.

 

Gaspillage alimentaire: 113 kg de nourriture jetés par an et par habitant au Maroc (Les Inspirations éco)

Les ménages marocains ont gaspillé l’équivalent de 4,3 millions de tonnes de nourriture en 2022, soit 113 kg/an par habitant par rapport à 3,3 millions en 2021 (91 kg/an). Une chose est sûre, le gaspillage alimentaire a affiché une augmentation de 1 million de tonnes en comparaison avec 2021 alors que la moyenne par habitant a augmenté de 22 kg, d’après les estimations contenues dans le rapport 2024 sur l’indice de gaspillage alimentaire du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE). Alors que 783 millions de personnes sont touchées par la faim et qu’un tiers de l’humanité est confronté à l’insécurité alimentaire, les ménages dans le monde ont jeté en 2022 l’équivalent d’un milliard de repas chaque jour, selon ce rapport. Au niveau de la zone du Nord de l’Afrique, c’est l’Égypte qui gaspille le plus de nourriture soit 18 millions de tonnes (172 kg/hab).

 

Droits de ports: le système tarifaire révisé en janvier 2026 (Les Inspirations éco)

L’Agence nationale des ports (ANP) s’apprête à confier, d’ici le mois d’avril, l’étude devant servir de base à la refonte du système tarifaire des droits de port. À première vue, il s’agit pour l’ANP d’adapter le système tarifaire des droits de port à la réalité économique, mais aussi aux évolutions du secteur puisque le port de Tanger Med assure actuellement l’équivalent de 55% de l’import et l’export du Royaume tant en valeur qu’en volume. Selon l’édition 2024 du cahier des tarifs applicables en rémunération des services et des prestations rendues par l’ANP dans les ports relevant de ses compétences, les droits appliqués aux usagers portuaires concernent les «droits de port sur les navires» transitant par les ports où elle intervient en plus des «droits de port sur les marchandises» ainsi que les «droits de port sur les unités de plaisance». Selon l’ANP, ces tarifs sont révisés au taux de 3% tous les deux ans. La prochaine révision interviendra ainsi le 1er janvier 2026.

 

Dialogue social: Akhannouch face à une équation complexe (L’Opinion)

Reporté à cause du séisme d’Al-Haouz, le nouveau round du dialogue social est jugé décisif de par les décisions qui devraient en découler. Actuellement, l’heure est aux échanges des points de vue. Après une semaine de rencontres enchaînées avec les partenaires sociaux, le gouvernement a tâté le terrain des revendications syndicales et patronales. Pour l’instant, la hausse des salaires, notamment du SMIG, et la réforme de l’Impôt sur le Revenu (IR) s’imposent comme des thèmes majeurs du nouveau round. Alors que la baisse de la pression fiscale sur les classes moyennes fait consensus, la hausse générale des salaires fait débat, surtout du côté des petites et moyennes entreprises. Idem pour le secteur public où l’Etat est en face de choix budgétaires complexes. Une équation compliquée.

 

Intérêt croissant des entreprises françaises pour les projets d’énergie verte au Maroc (L’Opinion)

Le Maroc est de plus en plus une destination pour les investisseurs green, notamment français. Cette tendance s’illustre par la récente visite au Maroc de Catherine MacGregor, directrice générale du groupe Engie Solutions, à la tête d’une délégation de haut niveau. L’objectif étant d’explorer les opportunités d’investissement dans les énergies vertes. L’idée serait d’accompagner le modèle énergétique marocain et de construire une nouvelle offre de transition énergétique adaptée aux attentes du Royaume, qui s’est engagé dans un large chantier de décarbonation.

 

Malgré le Plan National de l’Air, le Maroc parmi les grands pollueurs en Afrique (L’Opinion)

Un nombre conséquent de décès prématurés survient chaque année en raison de l’exposition à la pollution atmosphérique dans les pays d’Afrique du Nord. Si le Maroc n’est pas concerné par les décès prématurés, l’Égypte, le Nigeria et l’Afrique du Sud présentent une charge de morbidité importante, selon un rapport de Greenpeace MENA et Greenpeace Afrique. Le Royaume dispose tout de même des principaux points chauds d’émission SO2 en Afrique. Sur les 10 principaux points chauds d’émission de SO2 en Afrique, deux se trouvent au Maroc. Les chiffres annoncés par Greenpeace sont d’autant plus alarmants sur le plan économique, puisque la dégradation environnementale au Maroc représente une perte économique de 32,5 milliards de dirhams par an, soit environ 3,52 % du produit intérieur brut (PIB) du pays, selon le ministère de la Transition énergétique et du Développement durable. Pour éviter le pire, le gouvernement a lancé le Plan national de l’air (PNA) qui s’étend jusqu’en 2030, comprenant diverses mesures techniques, incitatives et légales, ainsi que des initiatives de sensibilisation et de communication.


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