Revue de presse quotidienne du vendredi 26 avril 2024
LA VÉRITÉ
SAR le Prince Moulay Rachid préside à Meknès un dîner offert par Sa Majesté le Roi en l’honneur des invités et participants à la 16ème édition du SIAM (Le Matin)
Son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid a présidé, jeudi à Mechouar Stinia-Sahrij Souani, à Meknès, un dîner offert par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, en l’honneur des invités et participants à la 16ème édition du Salon International de l’Agriculture au Maroc (SIAM). Ont été conviés à ce dîner, le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, le président de la Chambre des Représentants, Rachid Talbi Alami, le président de la Chambre des Conseillers, Enaam Mayara, des membres du gouvernement et des représentants du corps diplomatique accrédité à Rabat, ainsi que plusieurs autres personnalités civiles et militaires.
Bruno Le Maire : « Le Maroc et la France ont aujourd’hui l’occasion de réinventer leur modèle de partenariat économique» (Le Matin)
Pour Bruno Le Maire, ministre français de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, Rabat et Paris font face aux mêmes défis économiques. Le haut responsable français, qui effectue une visite de travail au Maroc, cite à cet égard notamment la sécurisation des chaînes de valeur, la décarbonation, le défi climatique, la transition numérique… «Il nous appartient de redéfinir nos stratégies et nos complémentarités économiques et de réinventer des logiques gagnant-gagnant, qui sont les seules possibles», explique-t-il dans un entretien accordé au «Matin».
Tout en rappelant que sa visite dans le Royaume s’inscrit dans le cadre de la relance de la relation entre les deux pays, Le Maire précise qu’en matière de partenariat économique, une nouvelle feuille de route est en train de mûrir. L’ambition étant de “mettre en œuvre l’objectif de nos deux Chefs d’État, qui est celui d’un profond renouvellement et d’une modernisation résolue de la relation franco-marocaine”.
Enseignants suspendus : réunion décisive lundi, les syndicats sur la défensive (Le Matin)
Après quatre mois d’attente, le sort des enseignants suspendus temporairement sera fixé la semaine prochaine. En effet, les commissions régionales créées au niveau des Académies régionales de l’éducation et de la formation (AREF) s’apprêtent à tenir une réunion, lundi prochain, pour trancher sur ces cas problématiques. Selon une source syndicale, le nombre des enseignants qui devront se présenter devant les conseils disciplinaires a considérablement baissé, passant de 540 à 250 enseignants. Le reste des enseignants ont pu rejoindre leurs classes après avoir reçu des avertissements ou des blâmes de la part du ministère de tutelle. La convocation des enseignants en question à cette réunion a créé une tension palpable au sein d’un secteur où la paix sociale demeure fragile. En tout état de cause, les syndicats refusent catégoriquement de cautionner toute sanction contre les enseignants suspendus.
La MAP et l’Agence mauritanienne d’information signent un nouvel accord de partenariat (Le Matin)
L’Agence Maghreb arabe presse (MAP) et l’Agence mauritanienne d’information (AMI) ont signé, jeudi à Rabat, un nouvel accord de partenariat pour consolider davantage leurs relations de coopération. Signé par le directeur général de la MAP, Fouad Arif, et le directeur général de l’AMI, Mokhtar Malal Dia, cet accord vise à promouvoir une coopération multiforme fructueuse, à l’image de l’excellence des relations entre le Maroc et la Mauritanie.
S’exprimant à cette occasion, M. Arif a indiqué que cet accord permettra assurément de stimuler l’échange en matière d’expertises et d’informations, et de gestion des ressources humaines des deux établissements. Cet accord revêt une grande importance en ce sens qu’il intervient à un moment où le champ médiatique fait face à plusieurs défis liés, notamment, à la recrudescence de la désinformation médiatique et des fake news, a-t-il relevé. Pour sa part, Malal Dia a exprimé la disposition et l’engagement de l’Agence mauritanienne de presse à développer les relations de coordination avec la MAP, pour toucher de nouveaux horizons.
La BEI sur le point d’approuver le prêt de 1 milliard d’euros promis au Maroc (Le Matin)
En effet, suite à la promesse faite en octobre dernier au gouvernement, la Banque européenne d’investissement franchit une étape décisive en soumettant à son conseil d’administration le dossier de prêt de 1 milliard d’euros pour soutenir le Programme de reconstruction post-séisme au Maroc. Ce financement majeur contribuera aux efforts du Royaume pour réparer les dommages causés par le séisme et reconstruire en mieux, en mettant l’accent sur les infrastructures durables, l’éducation, la santé et la protection sociale, afin d’améliorer les conditions de vie de la population tout en renforçant la résilience des zones affectées et des villes marocaines.
Catastrophes naturelles: Les drames coûtent au Royaume plus de 575 millions de dollars/an (L’Opinion)
«Il est particulièrement vulnérable aux tremblements de terre, aux inondations, aux glissements de terrain et aux sécheresses. Le séisme d’Al-Haouz de septembre 2023 illustre la gravité de ces risques : il a touché au moins 300.000 personnes, détruit 60.000 bâtiments et tué près de 3.000 personnes», indique la Banque mondiale (BM) dans un récent rapport. Et d’ajouter que les catastrophes coûtent au Maroc plus de 575 millions de dollars par an. «L’urbanisation et le changement climatique devraient encore exacerber les risques de catastrophe au Maroc, notamment à travers une augmentation de la fréquence et de la gravité des aléas hydrométéorologiques», prévoit- elle. Avec le soutien de la BM, poursuit ledit rapport, le Maroc a réalisé des progrès significatifs depuis 2008 dans le renforcement de sa résilience aux catastrophes et au changement climatique.