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Revue de presse quotidienne du 12 juillet 2023

LA VÉRITÉ


Voici les principaux titres développés par la presse nationale de ce mercredi:
Question du Sahara : l’Angola pour une solution politique fondée sur le compromis (Le Matin)
La République d’Angola est pour une solution politique fondée sur le compromis au sujet du différend autour du Sahara. Dans un communiqué conjoint publié, à l’issue des travaux de la 3è session de la Commission Mixte de Coopération maroco-angolaise, coprésidée par le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, et le ministre des Relations extérieures de la République d’Angola, Téte Antonio, le chef de la diplomatie angolaise a affirmé que son pays “encourage les efforts du Secrétaire Général de l’ONU et de son Envoyé Personnel, M. Staffan de Mistura, pour trouver une solution politique juste, durable, mutuellement acceptable par les parties et fondée sur le compromis”.
Dessalement de l’eau de mer : la capacité globale installée de 12 stations s’élève à 179 millions de m³/an (Le Matin)
La capacité globale installée de 12 stations existantes de dessalement de l’eau de mer s’élève à l’heure actuelle à 179 millions m3 par an, auxquels s’ajoutent quelque 37 millions de m3 issus du dessalement des eaux saumâtres, a indiqué le ministre de l’Équipement et de l’Eau, Nizar Baraka. Cette capacité de production vient d’être renforcée par 110 millions de m3 à la faveur des apports de deux stations de Safi et Jorf Lasfar réalisées par l’Office Chérifien des Phosphates (OCP) en vue d’approvisionner les villes de Safi et d’El Jadida en eaux potable et industrielle, a précisé Baraka dans une réponse à une question orale à la Chambre des représentants, lue en son nom par le ministre du Transport et de la Logistique, Mohamed Abdeljalil.
Impôt : pas de régime de faveur pour les opérations triangulaires (L’Economiste)
Le traitement fiscal du négoce triangulaire donne le tournis aux praticiens. Il s’agit des transactions commerciales réalisées par des partenaires situés dans trois États sans qu’aucune marchandise ne transite par le Maroc. Si bien qu’un professionnel a demandé l’avis de la Direction générale des impôts. Selon l’administration fiscale, ce type de business n’a jamais bénéficié des avantages fiscaux de l’export. Le régime de faveur disparaîtra définitivement à partir de 2026, année où le taux d’IS sera fixé à 20%. Reste la question de la TVA. Hors champ de la taxe, les transactions réalisées à l’étranger ne donneraient pas droit au remboursement ni à des achats en suspension de la taxe sans l’attestation de la douane.
Pourquoi les business schools coûtent aussi cher? (L’Economiste)
“Nous avons eu une transposition du phénomène. Les jeunes qui s’orientent vers le business sont issus des classes sociales économiquement élevées, alors que ceux choisissant l’ingénierie sont issus de la classe moyenne”, explique Hassan Sayarh, Directeur Général d’HEM. Il s’agit aussi, selon lui, en partie d’une question “historique”, et plus exactement d’un héritage du système français. Dans ce système, les business schools sont supportées par les chambres de commerce. Elles visent une catégorie sociale plutôt élevée. Les écoles d’ingénieurs, elles, sont financées par l’Etat, et ciblent plus des catégories sociales moyennes. Si l’on prend les écoles reconnues par l’Etat, parmi les plus en vue sur le marché, les tarifs des business schools sont généralement soit plus élevés, soit quasiment identiques à ceux des écoles d’ingénieurs. Et quand ils sont plus chers, la différence peut aller jusqu’à 24.000 DH.
Des acteurs économiques marocains et étrangers prospectent les opportunités d’investissement à Tan-Tan (L’Opinion)
Des acteurs économiques marocains et étrangers ont examiné, à Guelmim, les opportunités d’investissement dans la région de Guelmim-Oued Noun, notamment dans le secteur des énergies renouvelables et de l’hydrogène vert. Les participants au “Colloque sur l’investissement vert”, organisé dans le cadre de la 16ème édition du Moussem de Tan-Tan initié jusqu’au 12 juillet par la Fondation Almouggar sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, ont discuté des potentialités de la région Guelmim-Oued Noun, notamment dans les domaines de la pêche, du tourisme et de l’agriculture. Dans ce contexte, le président de la Fondation Almouggar, Mohamed Fadel Benaiche, a indiqué que ce colloque est une étape importante dans le cadre du Moussem de Tan-Tan afin de jeter la lumière sur les grands enjeux de développement de la province, notamment dans le cadre du programme de développement régional (PDR).
MRE : la 24ème édition du Séjour Culturel se poursuit à Kénitra (L’Opinion)
La Fondation Hassan II pour les Marocains Résidant à l’étranger organise la 24 édition du Séjour Culturel au profit des enfants des MRE du 8 juillet au 22 août 2023 au Centre de la Fondation à Kénitra. Ainsi, 720 enfants participants seront accueillis sur trois périodes: la première du 8 au 21 juillet 2023, la deuxième du 24 juillet au 6 août et la troisième du 9 au 22 août 2023, indique un communiqué de la Fondation. Agés entre 9 et 13 ans, ces enfants résident en France, Belgique, Espagne, Pays-Bas, Italie, Grande Bretagne, États-Unis, Canada, Côte d’Ivoire, Sénégal, Gabon, Gambie, Mauritanie, Tunisie et l’Algérie.
Hausse des températures : Le Maroc doit-il craindre les retombées d’un super- El Niño? (L’Opinion)
Phénomène climatique cyclique, El Niño est de retour avec des risques climatiques et sanitaires alarmants à l’échelle du globe. Après plusieurs mois de spéculations, les scientifiques confirment le début de ce nouvel épisode qui devrait durer entre 9 et 12 mois, touchant de plein fouet certaines régions. Subissant des vagues successives de canicule et de sécheresse, le Maroc se situe dans l’une des régions mondiales qui ne sont pas concernées directement par cette problématique, vu sa position géographique par rapport à l’océan Pacifique. “Les recherches scientifiques conduites en la matière montrent qu’El Niño n’a pas d’impact direct et stationnaire sur la région géographique dont fait partie le Maroc”, rassure Rhizlane Feddoul, Ingénieur de Recherche et Développement au Centre national du climat.
Incendies de forêts : 182 départs de feu affectant 1.251 hectares (Al Bayane)
L’Agence Nationale des Eaux et Forêts a signalé, lundi, un total de 182 départs de feu depuis le début de l’année, affectant une superficie de 1.251 hectares de formations arborées à l’échelle nationale. Dressant le bilan des incendies de forêts au 10 juillet, l’Agence précise qu’environ 54% de ces espaces incendiés sont principalement composés d’essences secondaires et de formations herbacées. La région ayant enregistré la plus grande superficie incendiée est Tanger-Tétouan-Al Hoceima avec 68 départs de feu et une superficie parcourue de 881 hectares, soit 70% de la superficie totale brûlée au niveau national, suivie par la région du Souss-Massa avec une superficie de 190 hectares (15% de la superficie totale incendiée).
Les arrivées touristiques à 6,5 millions de personnes à fin juin (Al Bayane)
Le nombre des arrivées touristiques s’est élevé à 6,5 millions de personnes durant les premier semestre de cette année, en croissance de 21% par rapport à 2019, selon le ministère du Tourisme de l’Artisanat et de l’Economie sociale et solidaire. “La trajectoire ascendante entamée par le tourisme depuis janvier 2023 se confirme avec les chiffres du mois de juin. En juin, le volume des arrivées aux postes frontières a atteint près de 1,4 million de touristes, soit +25% par rapport à 2019, précise la même source.

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