Un partenariat solide entre l’OCDE et le Maroc
L'OCDE soutient les réformes structurelles au Maroc pour une croissance durable
LA VÉRITÉ
Mercredi à Rabat, Mathias Cormann, Secrétaire général de l’Organisation de Coopération et de Développement Économiques (OCDE), a exprimé sa satisfaction quant au partenariat “très fort” entre son organisation et le Maroc. Ce partenariat repose sur une coopération fructueuse visant à soutenir l’agenda des réformes structurelles mises en œuvre dans le Royaume.
Soutien aux réformes économiques
D’abord, l’OCDE s’engage à accompagner le Maroc dans son programme de réformes structurelles à travers des études économiques et un dialogue approfondi. Ces réformes visent principalement à améliorer la croissance économique et à relever le niveau de vie des citoyens marocains. En effet, la collaboration OCDE-Maroc s’appuie sur une série de programmes qui renforcent les capacités institutionnelles et favorisent l’intégration économique.
Protocole d’accord pour l’avenir
Ensuite, Mathias Cormann a évoqué les opportunités qui se profilent pour renforcer ce partenariat, en particulier avec la signature d’un protocole d’accord destiné à encadrer la coopération pour les années à venir. Cet accord permet de formaliser et d’élargir les axes de collaboration entre l’OCDE et le Maroc, afin de poursuivre les efforts en matière de réformes économiques et sociales.
Clôture du Programme-pays II
Par ailleurs, la rencontre entre M. Cormann et Aziz Akhannouch, Chef du gouvernement marocain, a marqué la clôture officielle du Programme-pays II. Ce programme, mené avec l’OCDE, a permis au Maroc de mettre en œuvre des réformes ambitieuses en matière de gouvernance publique, d’investissement et de développement territorial. Grâce à cet accompagnement, le Royaume a pu intégrer davantage de bonnes pratiques internationales dans ses politiques publiques.
Perspectives de coopération accrue
Enfin, ce partenariat solide ouvre la voie à de nouvelles perspectives de coopération entre le Maroc et l’OCDE, notamment dans la gestion des investissements et l’inclusion sociale. Les deux parties s’accordent à dire que la collaboration reste essentielle pour relever les défis économiques futurs, tout en assurant une croissance durable et partagée pour l’ensemble de la population marocaine.