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Sahara marocain-Algérie : Des cas de flagrants délits de mensonge de l’Algérie

Depuis longtemps, l’Algérie baigne dans la propagande, concernant la question du Sahara, au point où il va falloir que les dirigeants de ce pays s’expliquent, un jour, non pas au regard de la communauté internationale seulement, mais plus grave, devant leur opinion publique, en d’autres termes, le peuple algérien, une fois qu’il aura recouvert son droit à s’exprimer librement.
Depuis longtemps, l’Algérie et je m’abstiendrai ici de citer les médias, qui ne sont que la voix de son maitre ou, d’une autre manière, une nouvelle Pravda à l’algérienne, présentait la zone tampon au Sahara, qui est située au-delà du mur de défense marocain, comme «des territoires libérés», avec même une capitale Bir Lahlou. Les envoyés spéciaux des médias algériens se déplaçaient dans les pseudo territoires libérés -entendez la région de Tindouf- sans crainte, pour couvrir des manifestations de propagande, voire même des agressions militaires du polisario contre le Royaume, qui existe depuis des siècles, lorsque l’Algérie n’était qu’un territoire sans maître, à défaut d’être carrément sous influence marocaine. L’Etat Algérien, qui est en charge de la sécurité de ses ressortissants, n’interdit pas à ses journalistes de s’aventurer dans des zones de guerre ou à haut risque, sachant que la mise en scène se déroule sur le territoire algérien dans la région de Tindouf.
Aujourd’hui, il suffit que l’ombre d’un engin, quelle que soit son origine, surgisse dans le désert de cette zone tampon, pour qu’il puisse être anéanti. Le Maroc avait, lors de l’établissement du cessez-le-feu, laissé volontairement une zone tampon entre le Maroc et l’Algérie, pour éviter toute confrontation avec l’Algérie «sœur» qui, malheureusement, exploite les bonnes intentions du Maroc pour les besoins de la propagande. Aujourd’hui, les bandes armées du polisario sont immobilisées dans les camps de Tindouf, sachant que toute aventure vaut la mort. Dans le temps, les médias algériens décrivaient l’organisation dans les camps, comme un modèle dans le monde, dont l’Algérie aurait mieux fait de s’inspirer pour justifier la faillite du système et son incapacité à nourrir convenablement le peuple algérien. Les médias avaient même évoqué l’autosuffisance du polisario en matière agricole, enregistrant ainsi des prouesses par rapport au pays hôte.
Sur le registre des mensonges et de la propagande, il y’a lieu d’évoquer aussi le titre attribué par les médias algériens à un mercenaire du polisario déployé à la mission permanente de l’Algérie à New york, présenté comme étant «le représentant du polisario auprès de l’ONU», alors que l’Organisation des Nations unies n’a jamais accrédité ni un tel personnage, ni le groupe terroriste auquel il revendique son appartenance. Le secrétariat général de l’ONU avait, récemment, publié une mise au point à ce sujet, apportant un démenti aux allégations du soi-disant représentant du polisario auprès de l’ONU. Il faut savoir que le polisario circule dans le monde avec des passeports algériens, parfois falsifiés, malgré tout, comme celui du «président » de l’utopique république de sable de Tindouf, Benbattouche, et que tous les voyages et séjours à l’étranger, sont pris en charge par le contribuable algérien, y compris l’avion présidentiel algérien, qui est mis à la disposition de Brahim Ghali. Il faut bien que « le président de la république », l’égo du président algérien, atterrisse dans des aéroports de pays amis en Afrique à bord d’un avion présidentiel, et non d’un minibus, bien que venant des camps de toile de Tindouf.
Il y’a également lieu de savoir que sans le siège imposé aux camps de Tindouf, les populations séquestrées en Algérie auraient évacué les camps en une heure, pour prendre la route du Maroc. C’est la raison pour laquelle l’Algérie refuse le recensement des populations des camps car une fois le statut de réfugié établi, les populations seraient libres de quitter les camps ou d’y rester, vers les destinations de leur choix, librement. Les camps des réfugiés, qui passeraient alors sous le contrôle des Nations unies, se videront immédiatement. Les populations des camps, utilisées pendant un demi-siècle comme une arme de chantage par l’Algérie retrouveront leur liberté d’expression et de mouvement. La communauté internationale établira alors le constat de flagrants délits de mensonge de l’Algérie «démocratique et populaire»


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