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Revue de presse quotidienne du mardi 7 janvier 2025

LA VÉRITÉ


Voici les dernières informations de la presse nationale de ce mardi :

 

Le Président français salue “l’ambition inédite” portée par le partenariat construit avec le Maroc ( Le Matin )

Le président français Emmanuel Macron a salué, lundi, “l’ambition inédite” portée par le partenariat construit avec le Maroc lors de sa récente visite d’État dans le Royaume, à l’invitation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. “Un des temps importants de ces derniers mois a été ce que nous avons réussi à bâtir avec Sa Majesté le Roi Mohammed VI lors de la visite d’État”, a souligné Macron qui s’adressait à la Conférence annuelle des Ambassadeurs français.

 

Les médecins internes et résidents suspendent leur grève ( Le Matin )

Les médecins internes et résidents ont annoncé la suspension temporaire de leur mouvement de grève, annulant ainsi une manifestation nationale prévue le 8 janvier 2025. Cette décision, motivée par la “volonté de créer un climat propice au dialogue et par le souci de garantir la continuité des soins”, s’inscrit dans une démarche de concertation et de réflexion sur les prochaines étapes de mobilisation. Si cette trêve traduit une envie d’apaisement, elle n’efface pas les revendications pressantes des professionnels, qui plaident pour une réforme en profondeur et équitable du système de santé.

 

Animaux domestiques et viandes fraîches : voici les contingents fixés pour les importateurs ( Le Matin )

Pour assurer un approvisionnement normal du marché en animaux domestiques et viandes fraîches, l’Exécutif a introduit dans le Budget 2025 la suspension, du 1er janvier au 31 décembre 2025, des droits d’importation et de la TVA appliqués à ces marchandises. Pour les importations des bovins, ovins, caprins et camélidés, les contingents ont été fixés respectivement à 50.000, 700.000, 20.000 et 15.000 têtes. Pour les velles reproductrices et les génisses, le contingent est fixé dans la limite de 20.000 têtes pour chaque catégorie.

 

Banque mondiale : forte baisse des engagements semestriels au Maroc ( Le Matin )

Depuis 2016, la Banque mondiale a injecté plus de 12 milliards de dollars pour financer des projets structurants et soutenir le développement économique du Maroc. Cependant, ses engagements au premier semestre de l’année fiscale 2025 (de juillet à décembre 2024) ont chuté de moitié par rapport à la même période de l’an dernier, atteignant seulement 570 millions de dollars. Une baisse qui soulève des interrogations sur la capacité de l’institution à retrouver cette année ses niveaux d’investissements records enregistrés depuis 2021.

 

Douane : taxe record contre le PVC américain ( Les Inspirations éco )

Le Maroc instaure une taxe antidumping de 24,88% sur les importations de polychlorure de vinyle (PVC) en provenance des États- Unis. Effective depuis le 3 janvier 2025, cette mesure remplace un taux provisoire de 5,5% et s’étendra sur cinq ans. Seules les importations accompagnées de factures validées par le département de l’Industrie en seront exemptées. Une démarche assumée dont la finalité est de protéger l’industrie locale face à une concurrence jugée déloyale.

 

Contrôle : le fisc signe un millésime 2024 historique ! ( Les Inspirations éco )

L’État peut compter, en ce début janvier, sur un millésime 2024 historique du contrôle fiscal. Selon une source proche de la DGI, le contrôle a rapporté l’an dernier 18 milliards de dirhams (MMDH) ! C’est 4 milliards supplémentaires par rapport à 2023 qui était déjà un exercice exceptionnel. Comme s’y était engagée la DGI, le “tableau de chasse” des inspecteurs des impôts sera désormais affecté au remboursement et à l’apurement des arriérés de crédits de TVA. Ce qui explique au passage que les organisations patronales ne portent plus de requête sur ce sujet qui a longtemps pollué les relations avec l’administration fiscale. En 2024, 22 MMDH ont été restitués aux entreprises au titre de crédits de TVA, alors que ce montant plafonnait à 6 ou 7 milliards.

 

Imposition des gains occasionnels et opérations lucratives : une nouvelle donne fiscale à clarifier ( Les Inspirations éco )

Avec la nouvelle catégorie de “revenus et gains divers provenant des opérations lucratives qui ne relèvent pas d’une autre catégorie de revenus”, le fisc va désormais surveiller vos moindres rentrées d’argent. Dans un souci d’élargissement de l’assiette fiscale et d’équité accrue, la Loi de finances 2025 a instauré une 6e catégorie de revenus imposables. L’instauration d’une nouvelle catégorie de “revenus et gains divers” marque une avancée notable dans la quête d’équité fiscale au Maroc. Un champ jusqu’alors largement inexploité. Mais, la sous-catégorie qui porte sur les “revenus et gains divers provenant des opérations lucratives qui ne relèvent pas d’une autre catégorie de revenus” soulève de nombreuses interrogations quant à son champ d’application précis et à sa mise en œuvre pratique, estime Mohamed Belkhayat, expert-comptable et commissaire aux comptes dans une récente publication.

 

Rapprochement maroco-mauritanien : vers un nouvel échiquier maghrébin ? ( L’Opinion )

Le contexte régional bouge à une telle vitesse qu’un nouvel échiquier se dessine au gré des nouvelles alliances. La Mauritanie s’est visiblement rapprochée du Maroc ces dernières années. Commerce, investissements, coordination sécuritaire… Rabat et Nouakchott coopèrent à tous les niveaux. La visite du président Mohamed Ould El-Ghazouani au Maroc a dévoilé l’intérêt mauritanien pour le projet d’intégration économique en Afrique de l’Ouest que porte le Royaume. Ce voisin si stratégique semble parier plus sur la crédibilité du Maroc. Le rapprochement maroco-mauritanien redistribue les cartes dans une région mouvementée.

 

Envolée des prix de la volaille : les explications des professionnels ( L’Opinion )

Les prix de la volaille s’envolent sur le marché national, mettant à mal le pouvoir d’achat des ménages déjà fragilisés par la hausse générale des produits alimentaires. Actuellement, le prix de la volaille avoisine les 30 dirhams le kilogramme, pour la grande surprise des ménages, contre 18 dirhams auparavant. Pour la Fédération Interprofessionnelle du Secteur Avicole (FISA), les prix résultent de l’augmentation de la demande sur le poulet. De plus, les intermédiaires, qui, bien qu’ils jouent un rôle déterminant entre les producteurs et les consommateurs, demeurent un facteur d’augmentation des prix des produits avicoles, selon la FISA, notant que, pour pallier cette problématique, la solution consiste à encourager l’agrégation, développer des écosystèmes intégrés, réduire les coûts marginaux et promouvoir le développement des abattoirs industriels.


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