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Le Parlement arabe souligne le rôle clé du Roi Mohammed VI dans la défense de la cause palestinienne

À l’occasion de sa 5e session plénière, l’institution arabe réaffirme son soutien à la résolution de la question palestinienne

LA VÉRITÉ


Le Parlement arabe a adopté, samedi au Caire, une résolution forte lors de sa 5e session plénière de la 4e législature, mettant en lumière les initiatives continues de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Président du Comité Al-Qods, pour préserver les droits du peuple palestinien.

L’institution a insisté sur l’urgence d’une solution juste au conflit israélo-palestinien, garantissant l’indépendance et la souveraineté d’un État palestinien avec Al-Qods Acharif comme capitale.

Les efforts du Roi pour Al-Qods : un engagement inébranlable

Lors des débats, les membres du Parlement arabe ont salué les actions concrètes menées par l’Agence Bayt Mal Al-Qods Acharif, placée sous l’égide du Comité Al-Qods présidé par le Roi. Cette institution finance des projets éducatifs, sanitaires et culturels visant à renforcer la présence palestinienne dans la Ville Sainte.

Le Parlement a souligné que ces efforts contribuent à la préservation de l’identité historique et juridique d’Al-Qods, menacée par les politiques d’occupation.

Une solution juste et durable : priorité pour la stabilité mondiale  

Les participants ont rappelé que la paix au Moyen-Orient, et au-delà, dépend d’une résolution équitable du conflit. « La sécurité globale ne sera possible qu’en reconnaissant pleinement les droits légitimes des Palestiniens », a déclaré un élu arabophone. La résolution demande ainsi un rejet catégorique des mesures unilatérales israéliennes et appelle à relancer des négociations sous l’égide des Nations Unies, conformément aux résolutions internationales.

Mobilisation internationale et initiatives concrètes  

Le Parlement arabe a annoncé son intention de renforcer le soutien parlementaire mondial à la cause palestinienne. Des démarches seront entreprises auprès des organisations internationales, notamment la Cour pénale et la Cour internationale de Justice, pour tenir responsables les acteurs violant le droit international. Des plans d’action transversaux, impliquant gouvernements et société civile, seront élaborés pour amplifier la pression diplomatique.

Appel aux acteurs internationaux : agir avant qu’il ne soit trop tard  

« Les Nations Unies et les grandes puissances doivent assumer leurs responsabilités », a insisté un rapporteur. La résolution exhorte ces acteurs à intervenir pour stopper l’escalade des violences dans les territoires occupés et à garantir un retour aux frontières de 1967. Sans engagement ferme, les risques d’embrasement régional restent élevés, alertent les parlementaires.

La délégation marocaine : acteur clé des discussions 

La participation marocaine, menée par Mohamed El Bakouri et Khadija Hajoubi, a marqué les débats par ses propositions sur le financement des projets humanitaires et la protection des civils palestiniens. Les élus ont également plaidé pour une coordination accrue entre les parlements arabes et africains, soulignant l’importance d’une approche multilatérale.

Face à l’urgence, le Parlement arabe relève son niveau d’engagement, comptant sur la diplomatie royale et les mécanismes internationaux pour sortir de l’impasse. Comme l’a rappelé un participant : « La justice pour la Palestine est la clé d’un avenir stable pour toute la région. »


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