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En pleine crise, l’Algérie poursuit sa folle course à l’armement


Alors que l’Algérie vit une crise sociale et économique sans précédent dans laquelle le peuple algérien brave quotidiennement les formes les plus dures de la misère dans un pays pourtant riche en ressources naturelles et que les prix de la principale ressource du pays (le pétrole) chancelle, les généraux du régime algérien continuent de faire des affaires et de dilapider les fonds publics dans l’achat d’armes qui rouillent avec le temps, à défaut de leur utilisation.

Le dernier marché en date concerne l’acquisition d’un sixième sous-marin Kilo 636 russe qui sera livré à Alger cet été. Avec un budget de 11 milliards de dollars consacré à l’armement en 2018, l’armée algérienne continue de s’équiper, et lourdement. Un 6e sous-marin russe Kilo 636 s’apprête ainsi à entrer en service. Cet appareil fera de la flotte sous-marine algérienne une des plus «nombreuses» en Méditerranéen, lit-on dans le site d’information Menadefense. Sa construction s’est achevée à Saint-Pétersbourg. Le sous-marin a fait sa première sortie en mer il y a quelques jours et sa livraison est prévue cet été. Les Kilo 636, également appelés «trous noirs» du fait de leur discrétion, viennent remplacer l’ancienne génération de sous-marins, les Kilo 877EKM qu’avait acquis Alger. Disposant d’une autonomie de 45 jours, ces nouveaux appareils peuvent être dotés de quatre missiles Kalibr, de 18 torpilles de 533 mm et de 24 mines, précise le site d’information Sputniknews.


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